mercredi 30 juin 2010

BEGINNINGS AND ENDINGS : DEJA VU IN REMEMBER ME

Débuts et fins : le sentiment de Déjà vu dans Remember Me


by/par jessegirl  (13/06/2010)

The film Remember Me is a complex layered knit. Elements are mirrored, or recur or bookend in such a way that the viewer is always reminded of the other side. Using this device, the filmmakers criss-cross back and forth through the story, entwining the beginning with the end constantly, pulling every thread together with the others.  When we watch, we are always being drawn back, always remembering.  If you see the film only once, you will be aware of only a few of these instances, but they will all be working on you. This undercurrent hitting our subconscious minds in a kind of eternal recurrence is genius.  

Le film Remember Me est une structure formée de couches complexes. Les éléments y sont mis en miroir, sont récurrents ou sont mis en parallèle, à la façon de serre-livres, de telle  sorte que le spectateur se voit toujours rappeler l’autre côté. A l’aide de ce mécanisme, les auteurs du film font d’incessantes allées et venues tout au long de l’histoire, entremêlant constamment le début avec la fin, tirant sur chaque fil pour le joindre aux autres.  Lorsque nous regardons le film, nous sommes toujours tirés vers l’arrière, toujours incités à nous souvenir. Un seul visionnage du film ne permet de prendre conscience que de quelques-unes de ces instances, mais elles font néanmoins toutes leur travail en nous. Ce courant souterrain qui touche notre subconscient en une sorte d’éternelle récurrence est une marque de génie.



Bookending brings us back to the beginning. It contains the whole. It creates a package, a contained unit. The film folds back on itself over and over many times with different bookended moments. It draws parallels and similarities between them.  

La technique du serre-livre, ou mise en parallèle, nous ramène au tout début. Elle contient la totalité. Elle crée un ensemble, une unité complète. Le film se replie sur lui-même à maintes reprises, plaçant différents moments entre ces « serre-livres » eten  créant des parallèles et des similarités entre eux.  

What do I mean? Okay, here are examples, some of which are obvious and some not so much.

Voici quelques exemples concrets pour illustrer cet argument : certains sont évidents, d’autres le sont beaucoup moins. 


1) The Twin Towers are clearly visible in the subway scene at the beginning, and there they are at the end when we see Tyler standing inside one of them. 

1) Les Tours jumelles sont clairement visibles dans la scène du métro au début, et elles sont de nouveau là à la fin lorsque nous voyons Tyler debout à la fenêtre dans l’une des tours.

2) The death of Ally's Mom at the beginning and of Tyler at the end bookend the film. At the beginning Ally watches her mother get killed and at the end she looks up at the towers, ashes falling around her, as Tyler has been killed. Grief to begin and end. 

2) La mort de la maman d’Ally au début, et celle de Tyler à la fin, sont comme deux serre-livres qui délimitent le film. Au début, Ally est témoin de l’assassinat de sa mère, et à la fin, son regard se porte vers les tours, où Tyler a été tué, tandis que les cendres tombent autour d’elle. Peine et douleur, au début comme à la fin.

3) Of course there's the obvious mirroring of Alley at the subway in the first scene, and her braving it at the same station in the last scene, indicating the impact Tyler made on her life. 

3) Il y a bien sûr la mise en miroir évidente d’Ally dans le métro, dans la toute première scène, tandis que dans la dernière, elle trouve le courage de monter dans le métro, dans la même station, en signe de l’impact laissé par Tyler sur sa vie.

4) The first time we see Neil and Ally together—subway, at the killing spot—he picks her up and holds her tight. Last time we see them together, right after he gets home on 9/11, they hold each other tight. Again, they are all each other have. 

4) La première fois que nous voyons Neil et Ally ensemble dans le métro, sur le lieu du meurtre, il la prend dans ses bras et la serre fort contre lui. La dernière fois que nous les voyons ensemble, alors qu’il vient juste de quitter la scène des attentats et de rentrer chez lui, ils se serrent à nouveau l’un contre l’autre. Une fois de plus, chacun d’entre eux n’a plus que l’autre au monde. 

5) Tyler has Michael’s name tattooed over his heart. Later, Aiden has Tyler’s name tattooed on his arm. [thanks Verlinda for noticing, Brevet post] 

5) Tyler s’est fait tatouer le nom de Michael sur la poitrine. Plus tard, Aiden s’est fait tatouer le nom de Tyler sur le bras.

6) Tyler finds his brother’s hung body and Ally sees her mother killed. This is back story mirroring, not visual.

6) Tyler retrouve le corps de son frère pendu, tandis qu’Ally voit sa mère se faire tuer sous ses yeux. C’est une mise en miroir narrative et non visuelle. 

7) The Hawkins family at Michael’s grave at the beginning and then at Tyler’s at the end.

7) La famille Hawkins est réunie autour de la tombe de Michael au début, et autour de celle de Tyler à la fin. 

8) Neil slaps Ally. Later, Ally slaps Tyler.

8) Neil gifle Ally. Un peu plus tard, Ally gifle Tyler.

9) We know Michael hung himself, which is a choking death. Then Tyler allows an incensed Neil to beat him up and almost choke him to death.

9) Nous savons que Michael s’est pendu, ce qui est une mort par asphyxie. Tyler laisse Neil, fou de rage, le battre comme plâtre et presque l’étrangler. 

10) Ally’s Mom memorizes the mugger’s face and we memorize Tyler’s face when he stands in the tower—yes, we do; beginning and end.

10) La maman d’Ally mémorise le visage de son agresseur et nous mémorisons le visage de Tyler lorsqu’il est dans la tour – difficile de l’oublier : début, et fin. 

There are numerical coincidences too.

Il y a aussi des coïncidences numériques.

11) Ally was 11 yrs. when her Mom was shot and Caroline was the same age when Tyler died. 

11) Ally avait 11 ans lorsque sa mère a été tuée et Caroline a le même âge lorsque Tyler meurt. 

12) Michael and Tyler were both 22 when they died. (Anyone watching a second time notices that was obvious from the get-go and Tyler blowing out the candles is, of course, basic foreshadowing.) 

12) Michael et Tyler ont tous les deux 22 ans lorsqu’ils meurent. Un second visionnage montre que ce fait est évident dès le départ et que l’image de Tyler soufflant ses bougies d’anniversaire est bien entendu un signe prémonitoire élémentaire.


There are, I’m sure, more of these instances of this device in Remember Me.

Il existe certainement de nombreux autres exemples de cette technique narrative dans Remember Me.

But for me, the most significant and meaningful ‘bookend’ was when we meet Tyler and when he leaves us.  

Mais pour, moi, l’exemple de «serre-livres» le plus marquant et le plus significatif est le moment où nous rencontrons Tyler et celui où il nous quitte.


(I developed it on the comments of the “Framing and Mirroring” post at the Unofficial Remember Me site: Unofficial RM Fan Site. Quoting the post: “Some of the ladies on both Rob's and the Remember Me IMDb message boards have been discussing the film in great detail. Mils1234 compiled a detailed post of some of the observations and insights... The first time we see him—Tyler—he is framed in a window, on the outside looking in. The last time we see him, he is framed in a window, on the inside looking out. I find this to be such a perfect symbol of his journey.) Thank you, everyone on the site, for getting me started. I will analyze this amazing bookend. 

J’avais développé cette idée dans les commentaires du post “Framing and Mirroring” (Encadrements et mises en miroir) sur le site Unofficial Remember Me (link) : «Certaines des bloggeuses des fils de discussion d’ImdB sur Rob's et sur Remember Me ont étudié le film dans ses plus infimes détails. Mils1234 a compilé un post précis de certaines de ces observations et idées... La première fois que nous voyons Tyler, il apparaît dans l’encadrement d’une fenêtre, et il est à l’extérieur, regardant vers l’intérieur. La dernière fois que nous le voyons, il apparaît aussi dans l’encadrement d’une fenêtre, mais cette fois-ci il est à l’intérieur et regarde vers l’extérieur. C’est à mon avis un symbole parfait de son itinéraire. Je remercie toutes les personnes de ce site qui m’ont permis de mettre le pied à l’étrier. Je vais maintenant analyser ce remarquable exemple de la technique du « serre-livre » dans le film.  

Uh-oh, unlucky thirteen.

Ce qui nous amène au numéro 13 de la liste, celui de la malchance.


13) We meet Tyler when he is outside on the fire escape, looking inside when he hears the phone ring. We leave Tyler when he is inside the North Tower, looking out. I think this significance was built into the film deliberately. Tyler, at the beginning and throughout the film, is tortured and looking inside himself, looking in. At the end he is at peace and looking outside himself, greeting the day. (Ironically.)

13) Lorsque nous rencontrons Tyler, il est assis à l’extérieur sur les marches de l’escalier de secours, et regarde vers l’intérieur tandis que le téléphone sonne. Lorsque nous quittons Tyler, il est dans la Tour Nord, et regarde vers l’extérieur. Je pense que c’est une signification qui a été volontairement incorporée au film. Tyler, au début du film et pendant tout le déroulement de celui-ci, est tourmenté et son regard est tourné vers l’intérieur de lui-même. A la fin, il est en paix et regarde vers le dehors, accueillant, ironie du sort, la journée qui commence.






And, at the beginning, when he’s looking into the apartment, from our vantage point, the apt. is black, a black frame for him, so he is looking inside the darkness within himself. And, at the end, when he’s looking outside the window, his face is illuminated, but the background and the window area is either black/dark, or striped like bars of a jail. He is paradoxically free—the illumination—and yet captured, a prisoner of fate. 

Au début, lorsqu’il regarde vers l’intérieur de l’appartement, de notre point de vue en tant que spectateurs, nous voyons que l’appartement est plongé dans le noir, qu’il forme un cadre noir autour de Tyler. Tyler est donc en train de regarder dans ses ténèbres intérieures. A la fin, lorsqu’il regarde par la fenêtre de la tour, son visage est illuminé, mais l’arrière-plan et la zone de la fenêtre sont noirs ou sombres, ou striés, comme les barreaux d’une prison. Paradoxalement, Tyler est libre – d’où l’illumination de son visage – et pourtant captif, prisonnier du destin.





The most wrenching thing: We meet him; we look out his apartment to see Tyler safe outside, on the fire escape, smoking. When we last see him he is inside the tower and he is trapped, with no fire escape. From his position in the tower and our knowledge of where the plane struck, he would have been engulfed in the first firestorm, gone in an instant.  

Et voici ce qui est le plus déchirant : lorsque nous le rencontrons, nous le voyons depuis l’intérieur de son appartement, en sécurité à l’extérieur, assis sur l’escalier anti-incendie, fumant une cigarette. Lorsque nous le voyons pour l’ultime fois, il est dans la tour et il est pris au piège, privé d’escalier de secours. D’après l’étage où il se trouve et ce que nous savons de l’endroit où l’avion a impacté la tour, Tyler a été toute certitude englouti dans le premier orage de feu ; il a été anéanti en un instant.


To take the ideas further:

Développons un peu plus ces idées :


He is physically safe outside on the fire escape at the beginning, but is in grave emotional peril, which is illustrated by him stumbling into the room, as he stumbles through life.

Au début, Tyler est physiquement  en sécurité sur les marches de l’escalier de secours, mais il est aussi exposé à un grave péril émotionnel, illustré par la façon dont il entre dans la chambre, en trébuchant, tout comme il trébuche dans la vie.


And the end he skips in the hall towards his father's office, insouciant, like a carefree kid, and he calmly occupies that room with every little graceful movement. He lovingly smiles at the family photos, becoming more and more tranquil.

A la fin, il traverse d’un pas léger le hall et se dirige vers le bureau de son père, aussi insouciant qu’un enfant, et il occupe calmement l’espace de cette pièce,  chacun de ses petits gestes pleins d’aisance. Il sourit avec amour en voyant les photos de famille, et devient de plus en plus paisible.  




(I love when he gently touches Janine's arm as he passes by her. She's sorry she doesn't remember Michael's birth date but Tyler knows she cares. This was a very touching moment.) He now inhabits a serene emotional place. And that's the point the camera chooses to tell us where he is.

J’aime le moment où il touche le bras de Janine quand il passe près d’elle. Elle est navrée de ne pas se souvenir de la date de naissance de Michael, mais Tyler sait que cela compte pour elle. C’était un moment très touchant. Tyler est dorénavant arrivé à un stade de sérénité émotionnelle. Et c’est ce moment que la caméra choisit pour nous dire où il se trouve. 


What is the purpose of ‘bookending’? Why use the device? And why use it so much?

Quel est le but de cette technique du «serre-livres» ? Pourquoi y recourir ? Et pourquoi l’utiliser si souvent ?

To show the circle of life? Well, it demonstrates the circularity of life. To show us cycles, repeating, recurring patterns.

Peut-être pour représenter le cercle de la vie ? C’est en effet ce que cette technique accomplit, elle nous montre des cycles, des schémas récurrents, qui se répètent.


But you’ll notice they don’t all repeat exactly. I will let you think of each instance and draw your own conclusions. But I’ll use one to show you how they change. At the very beginning, our eye follows the blurry subway as it travels. And there are Ally and her Mom on the platform, waiting. Then, at the very end of the film, we see Ally’s serene face, then the blurring as she sits on the subway [thanks, Kat].

Mais nous remarquons que ces cycles ne se répètent pas tous exactement à l’identique. Je vous laisserai réfléchir à chaque exemple et en tirer vos propres conclusions. Mais je m’appuierai sur un exemple pour démontrer comment ils se modifient. Au tout début, notre regard suit les wagons du premier métro dont l’image se brouille tandis qu’ils s’éloignent. Ally et sa maman sont sur le quai, et attendent. Puis, tout à la fin du film, nous voyons le visage serein d’Ally, assise dans le métro, puis l’image se brouille [merci, Kat]. 


The purpose of the bookends is more complex than just drawing us back to the beginning, over and over. The recurrences become resurrection. Because the interesting and significant thing is really this: The film ends, not with grief, not with the circle, not with repetition. It ends with the spiral towards the next level, with something new. It ends with hope and healing. Much as I, in my grief, died with Tyler when the screen went black and blank, that was not the end. Nor were the first shocks and sorrows from his loved ones which were depicted in the beginning of the final montage.  

Le but du mécanisme des serre-livres ne se limite pas à nous ramener sans cesse au début ; il est plus complexe que cela. Les récurrences deviennent résurrection. Ce qui compte, ce qui est réellement intéressant, c'est cela : le film ne s’achève pas sur le chagrin, ne referme pas la boucle du cercle, ne se termine pas sur une répétition. Il s’achève sur une spirale qui monte vers le niveau supérieur, vers quelque chose de nouveau. Il se termine sur une note d’espoir et de guérison. Même si , dans ma douleur, j’ai éprouvé la mort aux côtés de Tyler quand l’écran a été remplacé par un néant noir, ce n’était pas la fin. Pas plus que ne l’étaient les premières réactions de choc et la souffrance des proches de Tyler, que nous voyons au début du montage final.     


No, the end was when Zarvos’ score changes during that sequence. The music, a piano cutting in, slides seamlessly into a crescendo of triumph. You go from the bell-toll and violin sorrow which tears your insides, into a sadness which allows you to remember lovingly.  The music and the montage shows us that with this everlasting grief comes everlasting change within. You are never the same after Tyler dies. Because he mattered. Because he made a difference. Because he loved, and so do you. Forgave, and so do you.

Non, la fin survient lorsque la musique du compositeur Zarvos change pendant cette séquence. La musique, dans laquelle le piano s’insinue, s’achemine harmonieusement vers un crescendo triomphant. Nous passons du son du glas funèbre et du chagrin exprimé par les violons, qui nous déchirent  le cœur, pour glisser vers une tristesse qui nous permet de nous souvenir avec amour. La musique et le montage nous montrent que ce deuil éternel s’accompagne aussi d’un changement intérieur éternel. Nous ne sommes plus jamais les mêmes après la mort de Tyler. Parce qu’il comptait pour nous. Parce qu’il a créé une différence. Parce qu’il a aimé, comme nous. Parce qu’il a pardonné, comme nous.


You heal. How? Well, your sadness allows you to hold and keep your loved one in your heart, yet go on to face the world. He has become a part of you and you never forget. Never forget. Never. You keep his memory alive. You make him part of you.  You speak his name. Speaking the name is a magical resurrection, do you see? You tattoo it on your body. Make him yours. You write about him, to him. You tell him the secrets of your soul. Make him yours. You heal by carrying him inside you when you meet the world. But you meet it with a depth you hadn’t had before, before his death and your grief, before you knew.

Nous guérissons. Comment ? Notre tristesse nous permet de serrer et de garder l’être aimé en nos cœurs, tout en continuant à affronter le monde. Il est devenu une partie de nous et nous n’oublions jamais. Nous n’oublions pas. Jamais. Nous gardons vivant son souvenir. Nous faisons de lui une partie de nous-même. Nous prononçons son nom. Prononcer un nom est un sorte de résurrection magique. Nous tatouons ce nom sur nos corps. Nous nous l’approprions. Nous écrivons à propos de l’être aimé, nous lui écrivons. Nous lui racontons les secrets de nos âmes. Nous nous l’approprions. Nous guérissons en l’emmenant avec nous lorsque nous allons à la rencontre du monde. Mais nous abordons désormais le monde avec une profondeur que nous n’avions pas auparavant, avant sa mort et avant notre deuil, avant de savoir.


And so the circles, the symbolic recurrences the filmmakers used to bookend the film, all dissolve as Ally smiles in that last close-up.  He had made love to her in life. Tyler had come inside her. And he is there still, inside, smiling the same last serene smile he did on the day he died. Through her. And she’s made him hers. Forever. And that cannot be contained.

Et c’est ainsi que les cercles, les récurrences symboliques que les auteurs du film ont utilisé, comme des serre-livres encadrant leur histoire, se dissolvent dans ce dernier gros plan sur le sourire d’Ally. Tyler et elle avaient fait l’amour. Tyler avait été en elle, avait joui en elle ; il était entré dans son corps comme dans son coeur et son âme. Et il est toujours là, souriant de ce même sourire serein qu’il avait le jour de sa mort. A travers elle. Et Ally a fait de Tyler une partie d’elle-même. pour toujours. Et cela, c’est quelque chose qui n’a pas de limites. 


Thanks Kat and jessegirl!

Source: Originally posted on Sister Site Unofficial RM Fan Site

11 commentaires:

  1. Oh, encore un post qui fait sortir les mouchoirs... C'est magnifique et très complet, j'avais un peu entraperçu cela (notamment le fait que le film commence et se termine par le métro), mais je n'avais pas été aussi loin que cette analyse.
    Je ne peux vous dire merci pour la qualité de ce post.

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  2. Merci Carlie pour le commentaire ! Je suis bien d'accord, c'est un très beau texte. je le traduis ici pour l'auteur, jessegirl, pour qu'ell ait ton feedback :
    @jessegirl, this is what the commenter above, Carlie says: "This post makes us cry again.. it(s very beautiful and quite complete. I had had a few glimpses of these ideas (for example, I had noticed that the film begins and ends in the subway) but I had gone as as far as this in my analysis. I can only thank you for the quality of this article".

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  3. Toujours et encore Moi ♥!!!

    Alors là Waooo!!!! surprenant et magnifique je reste bouché...
    Carlie a bien raison un poste qui fait sortit les mouchoirs(encore) après se que je vient de lire plus haut c'est bon!!!maintenant j'ai besoin d'un calin( Rob ou et tu??)

    Jessegirl,écrit vraiment tres tres bien les choses clair et tout a fait en accord avec se que je pense, c'est impressionnant.

    Elle a une âme pour écrit les choses...

    Je te merci jessegirl de nous faire partager tout avec une emotions tellement forte et vrai.

    Merci a toutes les deux vous etes tout simplement SUPER.
    Bisous Elise♥

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  4. quelle analyse ! J'avoue certains effets ne m'avaient pas échappé comme le métro du début et de la fin mais mon analyse etait beaucoup plus superficielle. Merci pour toute cette émotion.

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  5. Merci beaucoup Elise et Valérie ! Oui c'est un très bel article de "jessegirl". Et encore, ce n'est que le début... on est en train d'écrire un roman... il y en aura d'autres des comme ça, préparez-vous !
    Je vais traduire vos commentaires dans un autre message pour qu'elle puisse les lire !
    merci à toutes les deux de vos encouragements, c'est tellement précieux pour nous aider à continuer ce quon fait ici !

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  6. @jessegirl, people love your article! I'm translating the comments above.
    Elise says: "It's amazing and superb, I 'm speechless...oh dear, I'll need some tissues now, or a hug (where's Rob??)... The author, jessegirl, describes things with such clarity, I totally agree with what she says, it's impressive. Her writing has a soul of its own... Thank you jessegirl for sharing everything with us and making us feel such strong, genuine emotions. Thank to both of you, you are really great.

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  7. @jessegirl, this is Valérie's comment: "What an analysis! True, there's certain things, like the bookend using the subway scene at the beginning and at the end, which I had of course noticed, but my own analysis only skimmed the surface. Thanks for sharing all this emotion with us".

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  8. Elise, Valerie, thank you for your good words. Yes, emotion is how I relate to the world. Others have other gifts. Together, we do great things.
    Rum, as usual, thank for being the intermediary.

    j

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  9. Elise, Valérie, voici la réponse de jessegirl à vos commentaires : "Elise, Valérie, merci de vos gentils commentaires. Ma façon d'aborder le monde passe en effet par l'émotion. D'autres personnes le font en ayant recours à des talents différents. Et ensemble, nous faisons de belles choses."

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  10. And merci, Carlie, for your thoughts.
    I keep seeing new things. I only saw what you did at first as well. It all takes time to absorb.

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  11. @carlie1105, voici ce que dit jessegirl en remerciement de ton commentaire : " Merci de votre avis... Je n'arrête pas de découvrir de nouvelles choses. Au début, je n'ai rien perçu de plus que vous. Il faut du temps pour tout absorber".
    (jessegirl, I'm just retranslating your comment for carlie1105, but I suppose you've already guessed that)

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