dimanche 11 juillet 2010

TYLER - ON THE FIRST MORNING

Tyler – Le premier matin




I love this very first image of Tyler sitting on his fire escape. Slightly hungover, already oblivious to the previous night’s lovemaking, he probably scrambled out of the window to escape what he now sees as another empty night of loveless sex and drinking. Fumbling in the half-dark, he must have groped for some clothes, hastily pulling on this bright, flaming red T-shirt which he is actually wearing inside out. An apt image. Sitting wearily on the steps, this is how Tyler is living for the time being: smoking and drinking his youth away, he’s living his life inside out. Symbolically, he’s also sitting on the fire escape, as if to imply that he’s always evading anything permanent: love relationships, family obligations, studies, or work.


J’aime cette toute première image qui nous fait découvrir Tyler assis sur l’escalier anti-incendie. Légèrement étourdi par un reste de gueule de bois, il a déjà oublié la fille avec laquelle il a couché la nuit d’avant, et il s’est sans doute faufilé par la fenêtre pour échapper à ce qu’il voit maintenant comme une nuit de plus de sexe sans amour et d’ivresse. Tâtonnant dans la pénombre, il a du rechercher quelques vêtements, enfilant à la hâte ce T-shirt d’un rouge vif resplendissant, qu’il a d’ailleurs mis à l’envers. Une image on ne peut plus adaptée. Assis, las, sur les marches de l’escalier, c’est comme cela qu’il vit sa vie pour le moment : gaspillant sa jeunesse dans les fumées des cigarettes et les vapeurs de l’alcool, il vit sa vie à l’envers. Et, symboliquement, il est assis sur l’escalier de secours, qui semble vouloir indiquer qu’il est toujours en fuite face à ce qui est permanent – qu’il s’agisse de relations amoureuses, d’obligations familiales, de ses études ou de son travail.


It takes him ages to react to Caroline’s phone call : he stares a long time into the flat, before he seems to realize that the phone is ringing, that real life and the world are calling him back. On that first morning, he’s out there, lost somewhere in his inner world – in an underworld filled with answerless grief, and a swirl of anger and yearning and desires, in which a slow undercurrent is however already at work to make him change and shape him into the young adult he’s becoming.


Il lui faut un temps infini pour réagir à l’appel de Caroline : pendant un long moment, il regarde fixement l’intérieur de l’appartement, avant de paraître se rendre compte que le téléphone sonne, que la vie réelle et le monde le rappellent à eux. Ce premier matin, il est à l’extérieur, perdu quelque part dans son monde intérieur – dans un monde souterrain empli de peines sans réponses, agité d’un tourbillon de colère, d’aspirations et de désirs, mais dans lequel un lent courant sous-jacent est cependant déjà à l’œuvre, travaillant à le faire changer, le façonnant pour le transformer en ce jeune adulte qu’il est en train de devenir.


Slowly, clumsily, fumbling and stumbling, he leaves the escape stairs and steps back through the window, reluctantly coming back to this other voice of life calling. Yet, even though he finally falls down heavily from the window into his room, he has been careful enough to put out his cigarette and slip it into the beer bottle which he uses as an ashtray, and to carefully put away the bottle before he goes inside. He’s also considerate enough not to wake up the sleeping girl as he moves over her and answers the phone in a soft, low voice. There’s a caring gentleness about him and it shows in all these little gestures: in this very short scene, we understand that Tyler is not just some drunken guy already wondering how he’s going to get rid of his one-night stand, even though Aidan tries to give this image of him as they walk together later to the university.

Lentement, maladroitement, avec des gestes gauches, trébuchant, Tyler quitte l’escalier anti-incendie et enjambe de nouveau le rebord de la fenêtre, revenant à contrecœur vers cette autre voix de la vie qui l’appelle. Et pourtant, même s’il finit par chuter lourdement de la fenêtre, il a pensé à éteindre sa cigarette et à la glisser dans la bouteille de bière qui lui sert de cendrier, et à mettre soigneusement la bouteille dans un coin avant de pénétrer dans la chambre. Il est aussi assez respectueux pour faire attention à ne pas réveiller la fille qui dort lorsqu’il se penche par-dessus elle, et il répond au téléphone avec douceur, à voix basse. Une espèce de douceur attentive émane de lui et transparaît au travers de tous ces petits gestes : très peu d’images suffisent ainsi pour nous faire comprendre que Tyler n’est pas un type vulgaire qui se demande déjà comment il va se débarrasser de son coup d’un soir, même si Aidan tente de lui coller cette image, plus tard en se rendant à l’université.

   


Tyler has simply been caught dreaming away on his fire escape, but he’s still enough in control when he returns to real life. He’s like a dreamer slowly awakening, forced to leave his inner world.
Il a simplement été surpris à rêver sur son escalier de secours, mais il possède encore assez de maîtrise lorsqu’il revient à la vie réelle. Il ressemble à un rêveur que l’on a forcé à quitter son monde intérieur et qui s’éveille lentement.

Tyler is sitting physically and symbolically outside of his life. The phone call catches him in a intermediary place which is not really part of his flat and yet is still connected to it – it is just a transient place, leading either inside or outside. The fire escape thus beautifully embodies this transitory stage in Tyler’s life – a stage of metamorphosis, of choices and decisions, of interrogations and unresolved emotions. Tyler is still too young to have found the answers he needs. It also points to this fire of transformation which forges all of us, and which is subtly illustrated by a double symbol: a physical place - the fire escape stairs - and a colour - the fiery, deep-orange red of Tyler’s tee-shirt.


Physiquement et symboliquement, Tyler s’est installé en dehors de sa vie. Le coup de fil le surprend dans un lieu intermédiaire qui ne fait pas réellement partie de l’appartement, et qui pourtant y est rattaché. C’est simplement un lieu provisoire, qui peut mener tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. L’escalier anti-incendie est ainsi un très beau symbole de cette étape transitoire dans la vie du jeune homme : une étape de métamorphose, de choix et de décisions, d’interrogations et d’émotions auxquelles il n’a pas encore trouvé de réponses. Tyler est encore trop jeune pour avoir trouvé les solutions dont il a besoin. Cet escalier symbolise aussi le brasier de la transformation dans lequel nous sommes tous forgés, brasier qui se manifeste ici sous l’aspect d’un subtil double symbole : d’une part un lieu physique (l’escalier anti-incendie), d’autre part une couleur (le rouge-orangé ardent et profond du tee-shirt de Tyler).


This red teeshirt which Tyler funnily wears inside out, with the seams and the tag showing, is perhaps not just an amusing detail. It means more. It tells us a lot about Tyler’s outlook on the world. It indicates that the meanings of inside and outside are reversed if you look at them from Tyler’s point of view. For Tyler, going inside –going back into the bedroom, back to the girl, back to another memorial for his dead brother – really means going outside: it means tearing himself away from his inner, true world, the one where he feels more comfortable. Whereas to him, going outside –stepping out of his bedroom window onto the fire escape –means going inside, escaping the outer world, removing himself from it to go and seek shelter into his inner world. From Tyler’s perspective, living your life inside out as he does – literally wearing your tee-shirt inside out – is the only way he has found to be able to cope with the world at that particular point of his life.


Ce tee-shirt rouge que Tyler a enfilé à l’envers, et dont on aperçoit les coutures apparentes et l’étiquette, n’’est peut-être pas un simple détail amusant. Il a un autre sens, plus riche. Il nous en dit long sur le vision qu’a Tyler a du monde. il indique en fait que les significations des mots « intérieur » et « extérieur » sont ici inversées si on les aborde du point de vue du jeune homme. Pour Tyler, aller vers l’intérieur - c’est-à-dire revenir à la chambre, vers la jeune fille, et aller encore une fois à une autre la cérémonie sur la tombe de son frère – tout cela signifie réellement aller à l’extérieur : s’arracher à son vrai monde intérieur, celui dans lequel il se sent plus à l’aise. En revanche, toujours de son point de vue, aller à l’extérieur – c’est-à-dire enjamber le rebord de sa fenêtre et aller s’asseoir sur l’escalier de secours – tout cela signifie aller vers l’intérieur, échapper au monde du dehors, s’en extraire pour aller se réfugier dans son propre monde intérieur. Ainsi, si on regarde les choses de cette façon, avec les yeux de Tyler, vivre sa vie à l’envers – en mettant littéralement son tee-shirt à l’envers– est le seul moyen qu’il a trouvé de faire face au monde à ce moment précis de sa vie.


Thus, when we see him looking at us through that window, Tyler is really sheltered deep inside his own inner world, the only true place which really matters to him at this stage of his life, the place where he must retreat to solve his conflicts and fears, as if it were a cocoon. He’s still in the chrysalis state. He still needs to spend time in that inner place before he can engage in the outside world again, when he will have started to grow up and change. He’s not ready yet to face the demands of external life.


Ainsi, lorsque nous le découvrons nous regardant par cette fenêtre, Tyler est en réalité à ce moment–là réfugié loin dans son propre monde intérieur, le seul vrai endroit qui compte pour lui à ce stade de sa vie. C’est le lieu où il doit se retirer pour résoudre ses conflits et ses craintes, comme une sorte de cocon. Il est encore à la phase de la chrysalide. Il a encore besoin de passer du temps dans ce lieu intérieur avant de pouvoir participer de nouveau au monde extérieur, lorsqu’il aura commencé à grandir et à changer. Il n’est pas encore prêt à faire face aux exigences de la vie du dehors.

Significantly, the phone call which he has to answer has a dual meaning: it is life calling, as Tyler hears Caroline’s clear little voice gently chiding him for forgetting the memorial or being late, but it is also a death call – Caroline is calling him to go and stand by their dead brother’s grave.


Le téléphone auquel Tyler doit répondre, et c’est lourd de sens, a un rôle double : c’est la vie qui l’appelle, lorsqu’il entend au bout du fil la petite voix claire de Caroline qui le gronde gentiment d’avoir oublié ou d’être en retard, mais c’est aussi la mort qui se fait entendre, car Caroline l’appelle pour qu’il vienne lui aussi se tenir auprès de la tombe de leur frère mort.

The dynamics of the scene tell it all, symbolically: Tyler reluctantly and clumsily leaves the outside platform where he has escaped to, then he hastily gathers his black suit and shoes, then steps out into the passage and grabs his hanging white shirt. He hasn’t bothered to change his red tee-shirt, which he is still supposedly wearing inside out. Foreshadowing is there, both in the colours and in the change of places. Colours first: a funereal black and white suit, and an ominous blood-like red tee-shirt– the colours whisper a silent message. The white shirt, hanging fom the window, catches the translucent light from outside. But it’s cold and chilly, reflecting off Tyler’s face and arms, and all of sudden, to me , it looked like a white shroud. Tyler is going to see his brother’s grave, but he will also be standing at the exact place where his own gravestone will be erected.


La dynamique de la scène nous dit tout, sur un plan symbolique : à contrecœur, maladroitement, Tyler abandonne le refuge externe où il s’était échappé, puis il ramasse à la hâte ses chaussures et son costume noir, puis il s’engage dans le couloir et saisit sa chemise blanche qui est suspendue là. Il ne s’est pas donné la peine de changer son tee-shirt, dont on peut imaginer qu’il le porte donc toujours à l’envers. Les signes prémonitoires sont là, présents au travers des couleurs comme du changement de lieux.
Les couleurs d’abord : un costume noir et blanc aux allures funèbres, et un tee-shirt d’un rouge inquiétant évoquant la couleur du sang : les couleurs nous murmurent un message silencieux. La chemise blanche, accrochée à la fenêtre, absorbe la lumière translucide venue du dehors. Mais cette lumière est froide, glacée, elle se reflète sur les bras et le visage de Tyler, et tout d’un coup, pour moi, elle s’est mise à ressembler à un linceul blanc. Tyler est en route pour se rendre sur la tombe de son frère, mais il va aussi se tenir à l’endroit exact où se dressera sa propre pierre tombale.


Places : as he leaves the fire escape (his inner world), and steps though the window frame (the boundary between his world and the real world), he’s back inside his bedroom, where we see him stumbling and groping at things, just as he gropes and stumbles though life. He then leaves the bedroom, which you can see through the doorframe in the dark behind him, with the glimpse of a black and white photo hanging on the wall – another hint that the things connected to Tyler already belong to the past. Then he is in the narrow passage, grasping this shroud-like shirt. One half of the passage is plunged in soft shadows, the other is bathed in the chill white light streaming in from the window. Walking in this short passage, where light and shadow are exactly balanced, Tyler steps further away from his last shelter (the bedroom). The phone call has drawn him away from his safe, dreaming escape place, seemingly towards life and the world and his family ; but this first step in the passage of his flat is also Tyler’ s first step towards the graveyard and his own death. Foreshadowing. Life and death, entwined : they are everywhere in the story, in every one of its tiny nooks, in every change of lighting and colours, suffusing every one of its scenes with a secret melancholy.
Colours and lighting : Red, black and white for Tyler's clothes; and an an equal balance of dark and light in the passage.
Couleurs et éclairages : rouge, noir et blanc pour les habits de tyler ; un exact équilibre d'osbcurité et de lumière dans le couloir.
 Les lieux : lorsqu’il abandonne l’escalier de secours (son monde intérieur), et enjambe le rebord de la fenêtre (la frontière entre son monde et le monde réel), Tyler est de retour dans sa chambre, où nous le voyons trébucher et attraper maladroitement les objets, tout comme il le fait dans la vie. Il quitte alors la chambre, qui reste apparente dans l’encadrement de la porte derrière lui, et l’on entr’aperçoit une photo noir et blanc accrochée au mur – autre indice qui montre que les choses liées à Tyler, déjà, appartiennent au passé. Tyler se retrouve alors dans l’étroit couloir, saisissant sa chemise blanche comme un linceul. Une moitié du couloir est plongée dans des ombres douces, un autre est baignée par la lumière blanche et glacée qui entre à flots par la fenêtre. En entrant dans ce petit couloir, où lumière et ombre sont exactement équilibrées, Tyler s’éloigne encore un peu plus de son dernier refuge (la chambre à coucher). Le coup de fil lui a fait quitter son lieu d’échappatoire, où il pouvait rêver en sécurité, pour l’attirer, semble-t-il, vers la vie, le monde et sa famille ; mais ce premier pas, dans le couloir de son appartement, est aussi le premier pas de Tyler vers le cimetière et vers sa propre mort. Signes prémonitoires, la vie et la mort, deux brins unis en une seule torsade. Ils sont partout dans le récit, dans chacun de ses recoins les plus infimes, dans chaque variation de la lumière et des couleurs, imprégnant chacune de ses scènes d’une secrète mélancolie.


Life and death are like an ever-present pull throughout the film, twin strands which tie silently every one of its narrative knots, running in alternating patterns of light and shadow along its seams. Life and death, both softly and slowly prising Tyler away from the stairs where he was sitting half-dreaming, undergoing his own slow adolescent to adult transformation, to lead him into a perilous world.


La vie et la mort exercent un mouvement de traction constant tout au long du film, fils jumeaux qui nouent silencieusement chacun des nœuds du récit, formant des motifs alternés d’ombres et de lumières le long de ses coutures. La vie et la mort, toutes les deux incitant doucement et lentement Tyler à quitter les escaliers où il est assis, rêvant à demi, tandis que s’opère sa lente transformation de l’adolescence à l’âge adulte. La vie et la mort, qui, toutes deux, l’emmènent vers un monde périlleux.


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Death in Remember Me /Remember Me et la mort : http://regardssurlefilmrememberme.blogspot.com/2010/05/death-in-remember-me-remember-me-et-la.html
Tyler At the Window Of Life/Tyler et la fenêtre de la vie : http://regardssurlefilmrememberme.blogspot.com/2010/06/tyler-at-window-of-life_24.html

8 commentaires:

  1. Beautiful detailed analysis, Rum!
    The symbolism of the fire escape, the intermediate place, I really like. Tyler's internal life being his 'safe' place. That inside-out Tee. As usual, you see the colours too as symbolic--wonder what the DP, Freeman, would have to say about the use of colour?
    So interesting.

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  2. Hi jessegirl! Thanks a lot! Yes, I'm convinced that the choice of colours in the film is deliberate. The symbolic interpretation is strictly personal though. I was hoping we would get more clues about this in the DVD commentary, but I will have to wait for the UK release to know all about the mysteries of the film...)) I certainly would love to have Jonathan Freeman's opinion. But then maybe he would tell me I got it all wrong.. who knows?

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  3. Sorry, I should be filling you in. They did mention colour, but more as a toning down to give it the feel of a different time. I'll listen again.

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  4. Thank you @jessegirl! I think you told me, actually - the toning down thing. But even if symbolsim was not their original purpose at all, and it's just me seeing things, maybe it does not matter after all. I guess the point is that people feel inspired by the film and want to talk about it, and turn up with different interpretations of their own. I guess a work of art always escapes from its makers after a while and gets a life of its own. And it's good that it does!

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  5. Une nouvelle fois une très belle analyse. J'aime beaucoup l'idée de l'intérieur / exterieur et vice versa.
    je crois que nous avons tous vécu le fait de quitter assez brutalement notre monde intérieur (et pour certains assez souvent) et de mettre un certain laps de temps à reprendre pied dans le monde réel.
    Tyler rentre à l'intérieur de lui-même pour échapper au monde réel dès qu'il le peut : par exemple quand il écrit sans fin dans son journal.
    J'ai cru comprendre dans vos commentaires (ai-je fait un non sens ?) que la symbolique des couleurs était fortuite d'après les commentaires insérés dans le DVD sorti aux USA mais personnellement je trouve qu'elle ajoute à la profondeur de la souffrance de Tyler.

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  6. Hello Valérie ! oui, dans mon échange avec jessgirl, je dis que l'interprétation des couleurs est assez personnelle, ce n'est pas forcément l'intention originelle ou consciente des créateurs du film. jessegirl qui a le DVD sorti au Canada dit simplement qu'elel se souveitn qu'ils mentionnent les couleurs, mais elel ne souvient pas de tout et se rappelel qu'ils ont essayé d'utiliser des couleurs un peu passées, délavées, ternies, pour donner le sentiment d'une époque légèrement antéirure à la nôtre. Elle se demande aussi que ce Freemn, le directeur de la photo, aurait à dre sur la couleur. Perso, je ne résiste pas, je vois chaque image comme u petit tableau et je craque à chaque fois, je regarde comment c'est fait, cadré, équilibré, quelles couleurs et quelles ombres/lumières ils ont mis... après tout, le ciné est un art visuel, donc j'imagine que les choix ne sont pas tous du au hasard et qu'il ya forcément une recherche de tonalité, de coloris, en plus des choix de cadrage, pour donner une impression...
    En tout cas moi aussi je reviens souvent sur ce thème intérieur/extérieur dans le film, et sur cette image, sur cette entrée de Tyler dans l'histoire. Elle m'a marquée. Bon, il fait qu'on en arrive à des choses plus marrantes ! Scène des spaghettis peut-être...

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  7. Ahaha J'ai compris le message ! Pour l'instant cette scène est le brouillon total, notes en vrac sur mon Iphone et pas encore du tout de structure ou de plan. Je vais essayer de m'y mettre, promis avant mes vacances. Enfin j'espère.

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  8. Valérie je vois que tu te souviens de notre échange sur la scène des spahettis... rassure-toi, moi aussi j'ai plein de projets RM dans les cartons, et pas bcp de temps pour les faire. Mais comme ça le blog durera plus longtemps...

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